Ecole

Un loup plus fort que lui lui sauta dessus et le plaqua au sol.

- Comment oses-tu nous adressez la parole, misérable humain ? grogna le loup.

- Calme-toi, Salis, intervint Nix, même si elle aurait largement préféré voir l'humain égorger par son camarade.

Elle jeta un regard méprisant à l'humain.

- Ce ne sont que des termites sans aucuns intérêt. Ils ne valent pas notre attention. Ils ne sont bon qu'en repas !

(euh... je te rappelle que généralement, les humains sont terrifier par les Yokaïs.)

(Bah lui n’est pas.)

L’humain se leva sans difficulté.

- C’est pas parce que vous êtes des sauvages berserk anthropomorphes que vous pouvez attaquer n’importe qui dans un lieu PACIFIQUE ! Vous allez arrêter de vous battre et occuper toute la place avec votre brouillailla barbare !

Korai était parti.

Un Rapaï s’adressa à l’humain.

- Tu vas pas te plaindre à nous, car C’EST EUX QU’ONT COMMENCÉ !

- Ta gueule, tête de poulet !

- Personne sauf la miss impulsive a touché votre sainte princesse de glace ultra parfaite !

Un lupaï lui sauta dessus. La rapaï bondit de côté et lui donna une claque. Bientôt ce fut une bagarre. Un prof arriva pas content.

- VOUS ÊTES TOUS COLLÉS !

- On s'en fooooouuuuut ! gueula Keefe en se jetant dans la bataille à grand renfort de bombe à eau. Youpiiiiii !

Nix n'avait pas prévu que ça déborde comme ça et essayais de retenir ses loups.

- Stop ! Arrêter ! Vous ne faîtes qu'aggraver la situation !

Mais malheureusement pour elle, il y avait de la panique dans sa voix. Et son pouvoirs d'Alpha ne marchait pas en présence de la panique, la peur ou l'hésitation. Alors, Nix prit une grande bouffé d'air, et hurla :

- LUPAÏS, TENEZ VOTRE RANG !!!!!!!

Ses loups se figèrent.

Le prof fit claquer un pétard.

- Tous dans mon bureau, maintenant. Surtout vous, Keefe.

Le groupe de rapais et lupais ainsi que l’humain et certains de ses amis spectateurs suivirent le prof.

- Non vous restez là, dit le prof aux humains.

Keefe, pas le moins du monde impressionné, essayais de faire rire Swill en lui racontant des blagues idiotes et sans intérêt.

- Faites le taire, marmonna un loup en le fusillant du regard.

(Swil n’est pas là.)

Ils entrèrent tous dans le bureau du prof.

- Votre comportement est intolérable ! Pas de bagarres entre races dans cette école ! Vous êtes tous collés pour trois jours ! Keefe, Nix, Salis, Léio, restez là.

La plupart partirent.

- Vous avez bien intérêt à vous expliquer. Il paraît que c’est vous qui avez commencé cette bagarre.

Swil écoutait de l’autre côté de la porte.

(oupsi)

Keefe s'assit sur une chaise, et mit ses pieds sur le bureau du prof.

- Que voulez-vous ? fit-il. Les chiens sont du genre rancuniers et susceptible...

- Espèce de sale... rugit Salis en se levant avant que Nix, bien que plus petite que lui, le plaqua à sa chaise.

- suffit ! siffla-elle. Maintenant tu te tait.

- Mais il à dit...

- Je sais ce qu'il à dit ! rétorqua Nix. Silence.

Keefe ricana, et Nix le foudroya du regard.

- Silence pour toi aussi ! lança-t-elle avec tant d'autorité que le jeune homme se tut, surpris.

- Enlevez vos sales pieds de ma chaise, jeune homme, dit le prof sévèrement.

Le rapaï qui n’était pas Keefe dit.

- C’est ce sale type de Salis qui a commencé, on l’a même pas touché avant qu’il nous attaque.

- C’est l’inverse !

Une deuxième bagarre commença.

- ÇA SUFFIT ! Vous n’êtes clairement pas assez matures pour gérer les disputes. Vous êtes tous collés pour une semaine.

Nix le foudroya du regard, avec l'envie de dire : "Silence ! Vous êtes mal placé pour jugé des problèmes qui remontent à bien des millénaires !" , mais elle se tut, et fit relever Salis.

- Nous vous présentons toutes nos excuses... Rapaïs ! cracha-elle. Mais apprenez à vous contenir.

et, sans attendre la permission du prof, prit salis par les épaules et sorti de la salle. Elle ouvrit violemment la porte, et tomba sur Swill.

- Qu'est-ce que tu fais là ? grogna-elle.

- Je ne vois pas où c’est marqué dans le règlement qu’il est interdit de traîner dans les couloirs, Miss Parfaite, dit Swil en haussant les épaules.

Salis grognait et sauta sur Swil, qui l’évita.

- Bon je traîne pas dans le même couloir que ce mec, alors je pars.